Ces 4 comportements de grands-parents qui insupportent tous les parents
Lorsqu’ils vivent à proximité, les grands-parents peuvent jouer un rôle important dans la vie de leurs petits-enfants. Mais certains de leurs comportements peuvent irriter les parents. Lesquels en particulier ? Voici les quatre à éviter, absolument.
Les grands-parents peuvent être des alliés précieux pour élever des enfants. Ils peuvent passer du temps avec eux, jouer, aller les chercher à l’école... Bref, faire partie intégrante de leur vie, ce qui est souvent précieux pour les parents débordés par le quotidien.
Mais parfois, certains comportements des grands-parents peuvent irriter les parents, comme le prouve le Huffington Post, qui a interrogé ses internautes à ce sujet. Voilà les quatre comportements qui les insupporte le plus.
Ne pas appeler l’enfant par son prénom
Les grands-parents peuvent, à l’instar de quand ils ont eu leurs propres enfants, aimer tel ou tel prénom et parfois le suggérer pour prénommer leur futur petit-fils ou petite-fille. Seulement, le parent peut ne pas être d’accord et prénommer son enfant autrement.
Cela peut causer une mésentente entre les deux partis et amener les grands-parents à ne pas utiliser le prénom choisi. C’est ce que témoigne l’une des internautes, expliquant que sa mère "n'aimant pas le nom de [son] fils (Elijah), elle a refusé de l'appeler ainsi. Au lieu de cela, elle disait ‘ce petit garçon ’ ou ‘ ce petit bébé’ comme s'il n'avait pas de nom".
Douter des capacités de leur enfant à être parent
Bien souvent, les grands-parents impliqués dans la vie de leurs petits-enfants en arrivent à donner des "conseils" sur la bonne manière de faire, à leurs enfants. Mais les choses changent et l’éducation qu’un jeune parent a connu il y des dizaines d’années ne représente pas forcément ce qu’il souhaite transmettre à son enfant.
Cette différence de point de vue peut être l’objet de tensions, dans les familles. "J’ai dirigé un groupe de nouvelles mères à Chicago. Une nouvelle maman a décrit en larmes sa propre mère, qui lui disait qu'elle connaissait son bébé mieux qu’elle. Les nouvelles mamans sont si vulnérables ; c’était déchirant", raconte Lisa.
S’attendre à être traité comme des invités
Au moment de la naissance ou peu après, il est fréquent de recevoir à la maison les grands-parents, afin qu’il puissent rencontrer le nouveau-né et passer du temps en famille. En revanche, il n’est pas opportun d’attendre d’être servis comme des invités, alors que leur fille et leur gendre (ou leur belle-fille et leur fils) viennent d’accueillir un bébé à la maison.
"Mes parents s'attendaient à être traités comme des invités chez moi alors que j'étais épuisée et que je souffrais après une césarienne. J'avais des jumeaux et j'apprenais à allaiter pour la première fois. Nous n’avions pas besoin de compagnie ou de public, nous avions besoin d’aide et de compassion… ou d’être laissée seule pour pouvoir être seins nus et prendre des médicaments" se souvient Katie.
Exprimer sa déception face au sexe du bébé
Certains grands-parents ne prennent pas de pincettes pour affirmer leur préférence à l’égard des garçons ou des filles. Et ne cachent pas leur déception, lorsque le sexe de l’enfant attendu ne correspond pas à leurs attentes. Comme le raconte Angela : "Mon ancienne belle-mère s'est présentée dans ma chambre d'hôpital dans les 30 minutes après que ma cinquième fille soit née et m'a dit: ‘ C'est dommage que cela soit une fille". Rien de tel pour refroidir les relations entre les deux parties.