5 signes que vous êtes heureux au travail
Etes vous heureux au travail ? En ces temps où l’on parle davantage de burn-out, de bore-out ou de mal-être en entreprise, comment savoir si l’on est heureux d’exercer son métier ? Voici quelques signes révélateurs, selon Johanna Rozenblum, psychologue clinicienne.
Mal-être, harcèlement au travail, burn-out… Les raisons de se sentir mal en raison du métier que l’on exerce sont nombreuses. Mais qu’en est-il du bonheur que l’on peut ressentir au travail ? Comment savoir si l’on est heureux professionnellement parlant ? Voici les signes.
On est content de s’y rendre
Lorsque l’on doit se lever le matin, on peut ne pas avoir envie d’aller travailler. "Mais si c’est tout l’inverse, qu’on a hâte de démarrer sa journée, c’est plutôt bon signe" explique Johanna Rozenblum.
On se projette dans l’avenir
On occupe une certaine place dans une entreprise, mais des opportunités d’évolution existent dans tous les milieux. "Si l’on se projette, qu’on souhaite évoluer sur un autre poste, que l’on se voit poursuivre sa carrière à des responsabilités plus importantes, c’est que tout se passe plutôt bien" ajoute la psychologue.
On est un élément moteur
Quand on aime son travail, on s’investit pleinement. "Etre moteur, force de proposition, fédérer ses collègues autour d’un projet… Tout cela montre un investissement positif, et donc un bien-être au travail" indique l’experte.
On a plaisir à faire son métier
Lorsque l’on aime son métier, qu’on est heureux de l’exercer, cela nous booste le moral. "Etre heureux au travail, c’est aussi avoir une bonne estime de soi : on valorise ses compétences, sa place au sein de la société. Cela va dans les deux sens" assure la psychologue.
On aime parler de son travail
Avec ses proches, ses amis, ses collègues… On parle constamment boulot. "Cela peut être lourd pour les autres, mais une personne passionnée par son job en parlera, parfois beaucoup, avec beaucoup d’entrain… Mais finalement, c’est bon signe, cela montre un véritable épanouissement dans la sphère professionnelle" conclut Johanna Rozenblum.