Voici ce que redoute la moitié des parents solos en amour
Lorsque l'on est un parent célibataire, se lancer dans les rencontres peut être intimidant. Mais une étape en particulier semble faire peur aux Français, révèle l'application Even.
Le saviez-vous ? En France, la monoparentalité concerne plus d’1 famille sur 4 en France, soit 2 millions de familles où les enfants résident avec un seul parent, sans conjoint cohabitant. Un schéma qui peut complexifier les relations amoureuses.
Les vacances d'été sont synonyme de stress... et de nouvelles rencontres
Pour mieux cerner l'intimité et les appréhensions de ces jeunes parents à l'approche de l'été, l'application Even, dédiée aux parents célibataires, a mené une étude d'envergure avec l'entreprise de sondages IPSOS.
Face aux défis pluriels que doivent surmonter les familles monoparentales (difficultés financières, problèmes liés à la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale...), Even a décidé de s'intéresser de plus près à cette catégorie de population, en menant une étude avec Ipsos Digital - en mars 2024.
Résultat ? Premier constat d’après l’étude, réalisée en mars 2024 auprès de 1000 parents célibataires français ayant des enfants âgés de moins de 18 ans :
"Les vacances d’été sont synonyme de stress pour 1 parent célibataire sur 3 (organisation et logistique). Toutefois, les vacances restent des moments privilégiés avec les enfants", relate l'étude.
Cette période estivale est en effet l'occasion de se reposer, avec ou sans les enfants (pour 48% des participants) mais aussi de faire de "nouvelles rencontres" (pour 55% d'entre eux).
Or, si la majorité de ces parents solos ont envie de rencontrer (à nouveau) l'amour, ils craignent un moment en particulier : le fameux passage à l'acte.
Selon Even, la moitié des parents célibataires "se disent ainsi nerveux à l’idée d’envisager des relations intimes avec un nouveau partenaire" et "55% d'entre eux appréhendent "un peu" ou "beaucoup" ce moment, particulièrement les mères (58%) et les plus de 45 ans (63%)".
Les parents ayant la garde exclusive sont plus angoissés
Si ce chiffre paraît déjà important, que dire des 25% qui appréhendent "beaucoup" ces relations ?
Ce sentiment est d’autant plus fort chez les parents ayant la garde exclusive (28%) de leurs enfants comparés à ceux qui ont la garde alternée (19%).
Par ailleurs, seuls "3 parents sur 10" déclarent n’avoir aucune appréhension concernant le passage à l’acte avec un ou une partenaire.