eSanté : après les capteurs et les montres, déjà les bagues connectées
Déjà un million d'utilisateurs se sont offert une bague connectée de la société la plus en pointe du secteur, Oura, originaire de Finlande. Le français Circular est en passe de commercialiser son premier modèle.
Outre le fait qu'elles sont moins encombrantes qu’une montre ou un capteur au poignet, les bagues connectées sont portées en permanence, même la nuit ou dans l’eau (elles sont étanches), et elles sont dites plus précises dans leurs mesures.
Plus de précision, plus d'autonomie de batterie
Leur rôle : capter la fréquence cardiaque, la saturation du sang en dioxygène (SpO2), la température cutanée, les phases respiratoires, le suivi du sommeil, en tout en lien avec une application sur le smartphone.
L’autonomie des bagues est aussi sensiblement supérieure à celle des montres : comptez 4 jours d’autonomie après une recharge complète de 60 minutes.
Les premières bagues arrivent à 300 €
De telles bagues, encore peu courantes, arrivent sous les 300 euros et visent en premier lieu les sportifs, adeptes de captations précises et toujours plus fiables, avec des systèmes portés moins encombrants qu’une montre.
Certains les porteront seules, sans autre équipement connecté ; d’autres en complément de montres qui gardent l’avantage d’afficher des notifications et aperçus de messages sur les écrans. Les bagues en sont dépourvues… pour l’instant ?