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SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE VIATRIS 1,5 M.U.I./250 mg, comprimé pelliculé, boîte de 10

Mis à jour le 16/09/2024
  • Principes actifs Spiramycine,...
  • Prix de vente 5,02 €
  • Taux de remboursement S. Sociale 65 %

SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE VTS est habituellement prescrit pour :

Indications SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE VTS

+ -

SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE VIATRIS est indiqué dans le traitement curatif d'infections odonto-stomatologiques tels que des abcès dentaires, chez l'adulte et chez l'enfant, après avoir évalué le rapport bénéfice-risque d'un traitement par cette association fixe à base de spiramycine-métronidazole et lorsqu'un autre traitement antibiotique ne peut pas être utilisé (voir rubriques Posologie et mode d'administration, Mises en garde spéciales et précautions d'emploi et Propriétés pharmacodynamiques).

Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.

Comment prendre SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE VTS

+ -

Posologie

Enfant de plus de 15 ans et adulte

2 à 3 comprimés par jour en 2 ou 3 prises (soit : 3 à 4,5 M.U.I de spiramycine et 500 à 750 mg de métronidazole).

Dans les cas sévères, la posologie peut être portée à 4 comprimés par jour.

Il existe une incertitude sur la dose optimale de cette association fixe (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques).

Mode d'administration

Voie orale.

Les comprimés doivent être avalés avec un grand verre d'eau.

Les comprimés sont à prendre au cours du repas.

Effets indésirables possibles SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE VTS

+ -
  • Allongement de l'intervalle QT
  • Arythmie ventriculaire
  • Tachycardie ventriculaire
  • Torsades de pointes
  • Arrêt cardiaque
  • Vascularite
  • Purpura de Schönlein-Henoch
  • Choc anaphylactique
  • Douleur abdominale
  • Nausée
  • Vomissement
  • Gastralgie
  • Diarrhée
  • Colite pseudomembraneuse
  • Eruption cutanée
  • Urticaire
  • Prurit cutané
  • Oedème de Quincke
  • Syndrome de Stevens-Johnson
  • Syndrome de Lyell
  • Pustulose exanthématique aiguë généralisée
  • Paresthésie
  • Dysgueusie
  • Anomalie des tests hépatiques
  • Hépatite cholestatique
  • Hépatite cholestatique mixte
  • Hépatite cholestatique cytolytique
  • Leucopénie
  • Neutropénie
  • Anémie hémolytique
  • Agranulocytose
  • Thrombopénie
  • Hallucination
  • Réaction psychotique
  • Paranoïa
  • Idée suicidaire
  • Acte suicidaire
  • Humeur dépressive
  • Neuropathie sensitive périphérique
  • Céphalée
  • Vertige
  • Confusion
  • Convulsions
  • Encéphalopathie
  • Syndrome cérébelleux subaigu
  • Ataxie
  • Dysarthrie
  • Anomalie de la démarche
  • Nystagmus
  • Tremblement
  • Méningite aseptique
  • Troubles visuels
  • Vision trouble
  • Diplopie
  • Myopie
  • Diminution de l'acuité visuelle
  • Altération de la vision des couleurs
  • Neuropathie optique
  • Névrite optique
  • Trouble digestif
  • Douleur épigastrique
  • Glossite
  • Sécheresse de bouche
  • Stomatite
  • Anorexie
  • Pancréatite
  • Décoloration de la langue
  • Modification de l'aspect de la langue
  • Mycose de la cavité buccale
  • Elévation des ALAT
  • Elévation des ASAT
  • Elévation des phosphatases alcalines
  • Atteinte hépatique aiguë
  • Atteinte hépatique ictérique
  • Insuffisance hépatocellulaire
  • Hépatotoxicité
  • Insuffisance hépatique aiguë
  • Bouffée congestive
  • Eruption cutanée fébrile
  • Erythème pigmenté fixe
  • Coloration brun-rougeâtre des urines
  • Test de Nelson faussement positif
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LIÉS À LA SPIRAMYCINE

Affections cardiaques



  • Fréquence indéterminée : allongement de l'intervalle QT, arythmie
    ventriculaire, tachycardie ventriculaire, torsades de pointes pouvant
    conduire à un arrêt cardiaque (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).


Affections du système immunitaire



  • Fréquence indéterminée : vascularite incluant le purpura de
    Henoch-Schönlein ou purpura rhumatoïde, chocs anaphylactiques (voir
    rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).


Affections gastro-intestinales



  • Fréquent : douleur abdominale, nausées, vomissements, gastralgies, diarrhée, colites pseudo-membraneuses.


Affections de la peau et du tissu sous-cutané



  • Fréquent : éruptions.

  • Fréquence indéterminée : urticaire, prurit, œdème de Quincke,
    syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell, pustulose
    exanthématique aiguë généralisée (PEAG) (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).


Affections du système nerveux



  • Très fréquent : paresthésies occasionnelles et transitoires.

  • Fréquent : dysgueusie transitoire.


Affections hépatobiliaires



  • Très rares : anomalies des tests hépatiques.

  • Fréquence indéterminée : cas d'hépatite cholestatique, mixte ou plus rarement cytolytique.


Affections hématologiques et du système lymphatique



  • Fréquence indéterminée : leucopénie, neutropénie, anémie hémolytique (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).


LIÉS AU MÉTRONIDAZOLE

Affections hématologiques et du système lymphatique



  • Neutropénie, agranulocytose et thrombopénie.


Affections psychiatriques



  • Hallucinations.

  • Réactions psychotiques avec paranoïa et/ou délire pouvant
    s'accompagner de manière isolée d'idées ou d'actes suicidaires (voir
    rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).

  • Humeur dépressive.


Affections du système nerveux



  • Neuropathies sensitives périphériques.

  • Céphalées.

  • Vertiges.

  • Confusion.

  • Convulsions.

  • Encéphalopathies pouvant être associées à des modifications de
    l'IRM généralement réversibles à l'arrêt du traitement. D'exceptionnels
    cas d'évolution fatale ont été rapportés (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).

  • Syndrome cérébelleux subaigu (ataxie, dysarthrie, troubles de la démarche, nystagmus, tremblements (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).

  • Méningites aseptique (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).


Affections oculaires



  • Troubles visuels transitoires tels que vision trouble, diplopie,
    myopie, diminution de l'acuité visuelle et changement dans la vision
    des couleurs.

  • Neuropathies/névrites optiques.


Affections cardiaques



  • Un allongement de l'intervalle QT a été signalé, en particulier
    lorsque le métronidazole était administré avec des médicaments
    susceptibles d'allonger l'intervalle QT.


Affections gastro-intestinales



  • Troubles digestifs bénins (douleurs épigastriques, nausées, vomissements, diarrhée).

  • Glossites avec sensation de sécheresse de la bouche, stomatites, troubles du goût, anorexie.

  • Pancréatites réversibles à l'arrêt du traitement.

  • Décoloration ou modification de l'aspect de la langue (mycose).


Affections hépatobiliaires



  • Elévation des enzymes hépatiques (ALT, AST phosphatases
    alcalines), très rares cas d'atteinte hépatique aiguë de nature
    cytolytique (parfois ictérique), cholestatiques ou mixtes. Des cas
    isolés d'insuffisance hépatocellulaire pouvant nécessiter une
    transplantation hépatique ont été rapportés.

  • Des cas d'hépatotoxicité sévère irréversible/d'insuffisance
    hépatique aiguë, y compris des cas entraînant une issue fatale avec une
    apparition très rapide après le début de l'utilisation systémique du
    métronidazole, ont été rapportés chez des patients atteints du syndrome
    de Cockayne (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).


Affections de la peau et du tissu sous-cutané



  • Bouffées congestives, prurit, éruption cutanée parfois fébrile.

  • Urticaire, œdème de Quincke, choc anaphylactique (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).

  • Très rares cas de pustulose exanthématique aiguë généralisée (voir rubrique Mises en garde spéciales et précautions d'emploi).

  • Syndrome de Lyell.

  • Syndrome de Steven-Johnson.

  • Erythème pigmenté fixe.


Divers



  • Apparition d'une coloration brun-rougeâtre des urines due à la
    présence de pigments hydrosolubles provenant du métabolisme du produit.


Déclaration des effets indésirables suspectés

La
déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du
médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du
rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé
déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de
déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des
produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de
Pharmacovigilance - Site internet : https://signalement.social-sante.gouv.fr/.

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Contre-indications SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE VTS

+ -
  • Patient de moins de 15 ans
  • Déficit en G6PD
  • Allaitement
  • Consommation d'alcool

  • Hypersensibilité à la spiramycine et/ou au métronidazole et/ou à
    tout autre antibiotique de la famille des imidazolés ou à l'un des
    excipients mentionnés à la rubrique Liste des excipients.

  • Enfant de moins de 15 ans.

  • Traitements concomitants avec certains médicaments susceptibles
    d'induire des torsades de pointes : amiodarone, citalopram,
    disopyramide, dompéridone, dronédarone, érythromycine par voie
    intraveineuse, escitalopram, hydroquinidine, hydroxyzine, méquitazine,
    moxifloxacine, pipéraquine, quinidine, sotalol, torémifène, vandétanib,
    vincamine par voie intraveineuse (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

Précautions d’emploi SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE VTS

+ -
  • Réaction allergique
  • Choc anaphylactique
  • Réaction cutanée sévère
  • Manifestations de réaction cutanée sévère
  • Syndrome cérébelleux
  • Symptômes d'encéphalopathie
  • Neuropathie périphérique sensitive
  • Affection neurologique
  • Méningite aseptique
  • Troubles psychiatriques
  • Antécédent psychiatrique
  • Antécédent de trouble hématologique
  • Leucopénie
  • Risque d'allongement de l'intervalle QT
  • Sujet âgé
  • Sujet de sexe féminin
  • Syndrome de Cockayne
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Cadre d'utilisation de cette spécialité

Dans
la mesure où il est attendu qu'une monothérapie antibiotique soit
adaptée au traitement de la plupart des infections
odonto-stomatologiques, il convient de peser la nécessité du recours à
une association fixe à base de spiramycine-métronidazole compte tenu de
la possibilité d'une prise séparée de chaque antibiotique. Il est
recommandé d'utiliser en première intention dans les infections
odonto-stomatologiques le traitement antibiotique présentant le
meilleur rapport bénéfice-risque.

Hypersensibilité / peau et annexes



  • Des réactions d'allergie, y compris des chocs anaphylactiques,
    peuvent survenir et mettre en jeu le pronostic vital (voir rubrique Effets indésirables). Dans ces cas, le métronidazole doit être interrompu et un traitement médical adapté doit être mis en place.

  • Des cas de réactions cutanées sévères incluant syndrome de
    Stevens-Johnson, syndrome de Lyell, Pustulose Exanthématique Aiguë
    Généralisée (PEAG) ont été rapportés avec spiramycine/ métronidazole.
    Les patients doivent être informés des signes et symptômes et une
    surveillance cutanée rapprochée doit être pratiquée.

  • La survenue de signes ou symptômes de syndrome de
    Stevens-Johnson, syndrome de Lyell (ex : éruption progressive souvent
    accompagnée de bulles ou de lésions des muqueuses) ou PEAG (Pustulose
    Exanthématique Aiguë Généralisée) (voir rubrique Effets indésirables)
    impose l'arrêt du traitement et contre-indique toute nouvelle
    administration de spiramycine ou de métronidazole seule ou associée.


Système nerveux central



  • Si des symptômes évocateurs d'encéphalopathie ou de syndrome
    cérébelleux (par exemple : ataxie, dysarthrie, troubles de la démarche,
    nystagmus, tremblements, vertiges, confusions, convulsions,
    neuropathies sensitives périphériques, céphalées (voir rubrique Effets indésirables))
    apparaissent, la prise en charge du patient doit être immédiatement
    réévaluée et le traitement par le métronidazole doit être arrêté.

  • Des cas d'encéphalopathie ont été rapportés avec le métronidazole
    lors de la surveillance post-commercialisation. Des cas de
    modifications de l'IRM associées à une encéphalopathie ont également
    été observés (voir rubrique Effets indésirables). Les lésions
    observées sont localisées le plus fréquemment dans le cervelet
    (particulièrement dans le noyau dentelé) et dans le splenium du corps
    calleux. La plupart des cas d'encéphalopathie et de modifications de
    l'IRM sont réversibles à l'arrêt du traitement. D'exceptionnels cas
    d'évolution fatale ont été rapportés.

  • Surveiller l'apparition de signes évocateurs d'encéphalopathie ou
    en cas d'aggravation chez les malades atteints d'affection neurologique
    centrale.

  • En cas de méningite aseptique sous métronidazole, la
    réintroduction du traitement est déconseillée ou doit faire l'objet
    d'une appréciation du rapport bénéfice-risque en cas d'infection grave.


Système nerveux périphérique



  • Surveiller l'apparition de signes évocateurs de neuropathies
    périphériques, en particulier en cas de traitement prolongé ou chez les
    malades atteints d'affections neurologiques périphériques sévères,
    chroniques ou évolutives.


Troubles psychiatriques



  • Des réactions psychotiques avec possible comportement à risque
    pour le patient, peuvent survenir dès les premières prises du
    traitement, notamment en cas d'antécédents psychiatriques (voir
    rubrique Effets indésirables). Le métronidazole doit alors être arrêté, le médecin informé et les mesures thérapeutiques nécessaires prises immédiatement.


Lignée sanguine



  • En cas d'antécédents de troubles hématologiques, de traitement à
    forte dose et/ou de traitement prolongé, il est recommandé de pratiquer
    régulièrement des examens sanguins, particulièrement le contrôle de la
    formule leucocytaire.

  • En cas de leucopénie, l'opportunité de la poursuite du traitement dépend de la gravité de l'infection.


Allongement de l'intervalle QT



  • Des cas d'allongement de l'intervalle QT ont été rapportés chez des patients prenant des macrolides, y compris la spiramycine.

  • La prudence est recommandée lors d'un traitement par spiramycine,
    chez des patients présentant des facteurs de risques connus pour
    allonger l'intervalle QT tels que :


    • un déséquilibre électrolytique non corrigé (par exemple, l'hypokaliémie, l'hypomagnésémie),

    • un syndrome du QT long congénital,

    • des pathologies cardiaques (par exemple, une insuffisance cardiaque, un infarctus du myocarde, une bradycardie),

    • un traitement concomitant avec des médicaments connus pour
      allonger l'intervalle QT (par exemple, , certains antiparasitaires,
      arsénieux, crizotinib, délamanide, hydroxychloroquinine, méthadone,
      certains neuroleptiques, sulfaméthoxazole + triméthoprime, anagrélide,
      azithromycine, bêta-bloquants dans l'insuffisance cardiaque,
      médicaments bradycardisants, ciprofloxacine, clarithromycine,
      glasdégib, médicaments diminuant le potassium, lévofloxacine,
      médicaments provoquant l'hypogonadisme masculin, norfloxacine,
      ondansétron et roxithromycine),

    • les personnes âgées, les nouveau-nés et les femmes peuvent être plus sensibles à l'allongement du QT (voir rubriques Posologie et mode d'administration, Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions, Effets indésirables et Surdosage).



 Troubles hépatiques



  • Des cas d'hépatotoxicité sévère/d'insuffisance hépatique aiguë, y
    compris des cas entraînant une issue fatale avec une survenue très
    rapide après l'initiation du traitement chez des patients atteints du
    syndrome de Cockayne, ont été rapportés avec des produits contenant du
    métronidazole destinés à une utilisation systémique. Dans cette
    population, le métronidazole  doit  donc être utilisé 
    après une évaluation approfondie du rapport  bénéfice risque et
    uniquement si aucun traitement alternatif n'est disponible. Des tests
    de la fonction hépatique doivent être réalisés juste avant le début du
    traitement, tout au long de celui-ci et après la fin du traitement,
    jusqu'à ce que la fonction hépatique se situe dans les limites des
    valeurs normales, ou jusqu'à ce que les valeurs initiales soient
    obtenues. Si les tests de la fonction hépatique deviennent nettement
    élevés pendant le traitement, la prise du médicament doit être
    interrompue.

  • Il faut informer les patients atteints du syndrome de Cockayne de
    rapporter immédiatement tous les symptômes de lésions hépatiques
    potentielles à leur médecin et d'arrêter la prise de métronidazole.


Déficit enzymatique en G6PD



  • Chez les sujets porteurs d'un déficit enzymatique en G6PD, des
    cas d'hémolyse aiguë ont été rapportés avec la spiramycine administrée
    par voie orale ou injectable. Sa prescription doit donc être écartée,
    et le recours à une alternative thérapeutique, si elle existe, est
    fortement recommandé.

  • En l'absence d'alternative, la décision doit prendre en compte
    pour chaque patient, le danger d'hémolyse et le bénéfice potentiel
    attendu du traitement. Si la prescription de ce médicament est
    nécessaire, la survenue d'une hémolyse éventuelle devra être dépistée.


Interactions médicamenteuses



  • L'utilisation concomitante de métronidazole et d'alcool est déconseillée (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

  • L'utilisation concomitante de métronidazole et de busulfan est déconseillée (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).

  • L'utilisation concomitante de métronidazole et disulfirame est déconseillée (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions).


Interactions avec les examens paracliniques



  • Le métronidazole peut immobiliser les tréponèmes et donc faussement positiver un test de Nelson.

  • Le métronidazole peut interférer avec certains dosages sanguins
    (alanine aminotransférase [ALT], aspartate aminotransférase [AST],
    lactate déshydrogénase [LDH], triglycérides, glucose), pouvant
    entraîner un faux négatif ou un résultat anormalement bas. Ces dosages
    sont basés sur une diminution de l'absorbance des ultraviolets, un fait
    qui se produit lorsque le nicotinamide adénine dinucléotide réduit
    (NADH) est oxydé en nicotinamide adénine dinucléotide (NAD).
    L'interférence est due à la similitude des pics d'absorption du NADH
    (340 nm) et du métronidazole (322 nm) à un pH égal à 7.


Excipient

Ce
médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé,
c.-à-d. qu'il est essentiellement « sans sodium ».

Interactions médicamenteuses SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE VTS

+ -

LIÉES À LA SPIRAMYCINE

 Associations
contre-indiquées + Substances susceptibles de provoquer des torsades de
pointes : (en dehors des arsénieux, antiparasitaires, neuroleptiques,
méthadone, cotrimoxazole, crizotinibe) : amiodarone, citalopram,
disopyramide), dompéridone, dronédarone érythromycine IV, escitalopram,
hydroquinidine, hydroxyzine, méquitazine , moxifloxacine, pipéraquine,
quinidine, sotalol, , torémifène, vandétanib, vincamine IV)

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

Associations déconseillées

+ Antiparasitaires susceptibles de provoquer des torsades de pointes (chloroquine, halofantrine, luméfantrine, pentamidine)

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Si cela est possible, interrompre l'un des deux traitements.
Si l'association ne peut être évitée, un contrôle préalable du QT et
une surveillance ECG doivent être effectués.

+ Arsénieux

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Si l'association ne peut être évitée, une surveillance
clinique et électrocardiographique régulière doit être effectuée.

+ Crizotinib

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Si l'association ne peut être évitée, une surveillance
clinique et électrocardiographique régulière doit être effectuée.

+ Delamanide

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Si l'association ne peut être évitée, une surveillance
clinique et électrocardiographique régulière doit être effectuée.

+ Hydroxychloroquine

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Si l'association ne peut être évitée, une surveillance
clinique et électrocardiographique régulière doit être effectuée.

+ Méthadone

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Si l'association ne peut être évitée, une surveillance
clinique et électrocardiographique régulière doit être effectuée.

+ Neuroleptiques susceptibles d'induire des torsades de pointes
(amisulpride, chlorpromazine, cyamémazine, dropéridol, flupentixol,
fluphénazine, halopéridol, lévomépromazine, pimozide, pipampérone,
pipotiazine, sulpiride, tiapride, zuclopenthixol)

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Si l'association ne peut être évitée, une surveillance
clinique et électrocardiographique régulière doit être effectuée.

+ Sulfaméthoxazole + triméthoprime

Risque
de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Si l'association ne peut être évitée, une surveillance clinique et
électrocardiographique régulière doit être effectuée.

Associations faisant l'objet de précautions d'emploi

+ Anagrélide

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être
effectuée en cas d'administration concomitante.

+ Azithromycine

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être
effectuée en cas d'administration concomitante.

+ Bêta-bloquants dans l'insuffisance cardiaque

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être
effectuée en cas d'administration concomitante.

+ Bradycardisants

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être
effectuée en cas d'administration concomitante.

+ Ciprofloxacine

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être
effectuée en cas d'administration concomitante.

+ Clarithromycine

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être
effectuée en cas d'administration concomitante.

+ Glasdégib

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être
effectuée en cas d'administration concomitante.

+ Hypokaliémiants

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

Corriger
toute hypokaliémie avant d'administrer le produit et réaliser une
surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.

+ Lévofloxacine

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être
effectuée en cas d'administration concomitante.

+ Médicaments à l'origine d'un hypogonadisme masculin

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être
effectuée en cas d'administration concomitante.

+ Norfloxacine

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être
effectuée en cas d'administration concomitante.

+ Ondansétron

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être
effectuée en cas d'administration concomitante.

+ Roxithromycine

Risque
majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de
pointes. Une surveillance clinique et électrocardiographique doit être
effectuée en cas d'administration concomitante

+ Lévodopa

En
cas d'association avec la carbidopa : inhibition de l'absorption de la
carbidopa avec diminution des concentrations plasmatiques de la
lévodopa.

Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de la lévodopa.

LIÉES AU MÉTRONIDAZOLE

Réaction antabuse

Les médicaments provoquant une réaction antabuse avec l'alcool sont nombreux et leur association avec l'alcool est déconseillée.

Associations déconseillées

+ Alcool (boisson ou excipient)

Effet
antabuse (chaleur, rougeurs, vomissements, tachycardie). Eviter la
prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
Tenir compte de l'élimination complète des médicaments en se référant à
leur demi-vie avant la reprise de boissons alcoolisées ou du médicament
contenant de l'alcool.

+ Busulfan

Avec le busulfan à fortes doses : doublement des concentrations de busulfan par le métronidazole.

+ Disulfirame

Risque d'épisodes de psychose aiguë ou d'état confusionnel, réversibles à l'arrêt de l'association.

Associations faisant l'objet de précautions d'emploi

+ Anticonvulsivants inducteurs enzymatiques

Diminution des concentrations plasmatiques du métronidazole par augmentation de son métabolisme hépatique par l'inducteur.

Surveillance
clinique et adaptation éventuelle de la posologie de métronidazole
pendant le traitement par l'inducteur et après son arrêt.

+ Rifampicine

Diminution des concentrations plasmatiques du métronidazole par augmentation de son métabolisme hépatique par la rifampicine.

Surveillance
clinique et adaptation éventuelle de la posologie de métronidazole
pendant le traitement par la rifampicine et après son arrêt.

+ Lithium

Augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques, avec signes de surdosage en lithium.

Surveillance stricte de la lithémie et adaptation éventuelle de la posologie du lithium.

Associations à prendre en compte

+ Fluoro-uracile (et par extrapolation, tégafur et capécitabine)

Augmentation de la toxicité du fluoro-uracile par diminution de sa clairance.

+ Médicaments allongeant l'intervalle QT

Un
allongement de l'intervalle QT a été signalé, en particulier lorsque le
métronidazole était administré avec des médicaments susceptibles
d'allonger l'intervalle QT.

Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR

De
nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont
été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte
infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient
apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il
apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et
son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant,
certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit
notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du
cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.

Interactions avec les examens paracliniques

Le métronidazole peut immobiliser les tréponèmes et donc faussement positiver un test de Nelson.

Sans objet.

Surdosage SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE VTS

+ -

Il n'existe pas d'antidote spécifique pour la spiramycine ni le métronidazole.

En cas de surdosage, le traitement est symptomatique.

TROUBLES LIES A LA SPIRAMYCINE

Il n'y a pas de dose toxique connue pour la spiramycine.

Les signes attendus à forte dose sont digestifs : nausées, vomissements, diarrhées.

Des cas d'allongement de l'intervalle QT régressifs à l'arrêt du traitement ont été observés chez des nouveau-nés traités à de fortes doses de spiramycine et après administration intraveineuse de spiramycine chez les sujets à risque d'allongement de l'intervalle QT. En cas de surdosage en spiramycine, un ECG est donc recommandé pour mesure de l'intervalle QT, ce d'autant qu'il existe d'autres facteurs de risque associé (hypokaliémie, allongement congénital de l'intervalle QTc, association aux médicaments prolongeant l'intervalle QT et/ou donnant des torsades de pointes).

TROUBLES LIES AU METRONIDAZOLE

Des cas d'administration d'une dose unique jusqu'à 12 g ont été rapportés lors de tentatives de suicide et de surdosage accidentel. Les symptômes se sont limités à des vomissements, ataxie et légère désorientation.

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Grossesse et allaitement SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE VTS

+ -

Grossesse

L'utilisation de ce médicament peut être envisagée au cours de la grossesse si besoin quel qu'en soit le terme.

MÉTRONIDAZOLE

En
clinique, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées n'a
apparemment révélé aucun effet malformatif ou fœtotoxique particulier
du métronidazole. Toutefois, seules des études épidémiologiques
permettraient de vérifier l'absence de risque.

Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène du métronidazole.

SPIRAMYCINE

L'utilisation
de la spiramycine peut être envisagée au cours de la grossesse si
besoin. En effet, l'utilisation large de la spiramycine au cours de la
grossesse n'a pas révélé, à ce jour, d'effet malformatif ou fœtotoxique
de cette molécule.

Allaitement

Le
métronidazole et la spiramycine passant dans le lait maternel, éviter
l'administration de ce médicament pendant l'allaitement.

Aspect et forme SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE VTS

+ -

Comprimé pelliculé.

10 comprimés sous plaquettes (PVC/Aluminium).


Composition SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE VTS

+ -
Principe actif Comprimé pelliculé
Spiramycine 1.5 MUI *
Métronidazole 250 mg *
* par dose unitaire
Principes actifs : Spiramycine , Métronidazole
Excipients : Noyau : carboxyméthylamidon sodique (type A) , Mannitol , Hydroxypropylcellulose , Magnésium stéarate , Cellulose microcristalline , Pelliculage : Sepifilm blanc : Hypromellose , Macrogol 6000 , Titane dioxyde

Aucun excipient à effet notoire ? n'est présent dans la composition de ce médicament

Mécanisme d’action SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE VTS

+ -

Classe pharmacothérapeutique : associations d'antibactériens, spiramycine et métronidazole, code ATC : J01RA04.

Ce
médicament est une association de spiramycine, antibiotique de la
famille des macrolides, et de métronidazole, antibiotique de la famille
des nitro-5-imidazolés.

SPECTRE D'ACTIVITE ANTIMICROBIENNE

SPIRAMYCINE

Les
concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de
sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :

S ≤ 1 mg/L et R > 4 mg/L

La
prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la
géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de
disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale,
surtout pour le traitement d'infections sévères. Si nécessaire, il est
souhaitable d'obtenir un avis spécialisé principalement lorsque
l'intérêt du médicament dans certaines infections peut être mis en
cause du fait du niveau de prévalence de la résistance locale.

Classes
ESPECES HABITUELLEMENT SENSIBLES
Aérobies à Gram positif
Corynebacterium diphtheriae
Rhodococcus equi
Aérobies à Gram négatif
Bordetella pertussis
Campylobacter
Legionella ($)
Moraxella
Moraxella catarrhalis (Branhamella catarrhalis)
Neisseria gonorrhoeae ($)
Anaérobies
Actinomyces
Clostridium perfringens ($)
Eubacterium
Mobiluncus
Porphyromonas
Prevotella
Propionibacterium acnes
Autres
Borrelia burgdorferi
Chlamydia trachomatis
Chlamydophila pneumoniae
Coxiella
Leptospires
Mycoplasma pneumoniae
Treponema pallidum
Ureaplasma urealyticum ($)
ESPÈCES INCONSTAMMENT SENSIBLES

(résistance acquise > 10 %)
Aérobies à Gram positif
Enterococcus spp. (+)
Staphylococcus méticilline-sensible
Staphylococcus méticilline-résistant (+) (1)
Streptococcus agalactiae
Streptococcus pneumoniae
Streptococcus pyogenes
Streptococcus viridans
Anaérobies
Peptostreptococcus
ESPECES NATURELLEMENT RESISTANTES
Aérobies à Gram positif
Corynebacterium jeikeium
Nocardia asteroides
Aérobies à Gram négatif
Acinetobacter
Entérobactéries
Haemophilus
Pseudomonas
Anaérobies
Fusobacterium
Autres
Mycoplasma hominis
($) Espèce naturellement intermédiaire en l'absence de mécanisme de résistance.

(+) La prévalence de la résistance bactérienne est > 50 % en France.

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(1)
La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 20 à 50 % de
l'ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu
hospitalier.

Activité anti-parasitaire

La spiramycine possède une activité in vitro et in vivo sur Toxoplasma gondii.

METRONIDAZOLE

Les
concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de
sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :

Concentrations critiques cliniques établies par l'EUCAST pour le métronidazole
Organismes Sensible (S)
(mg/L)
Résistant (R)
(mg/L)
Anaérobies à Gram positif excepté Clostridium difficile ≤ 4 > 4
Clostridium difficile ≤ 2 > 2
Anaérobies à Gram négatif ≤ 4 > 4
Helicobacter pylori ≤ 8 > 8

La
prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la
géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de
disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale,
surtout pour le traitement d'infections sévères. Si nécessaire, il est
souhaitable d'obtenir un avis spécialisé principalement lorsque
l'intérêt du médicament dans certaines infections peut être mis en
cause du fait du niveau de prévalence de la résistance locale.

Classes
ESPECES HABITUELLEMENT SENSIBLES
Anaérobies
Bacteroides fragilis
Bilophila wadsworthia
Clostridium spp.y compris Clostridium difficile et Clostridium perfringens
Fusobacterium
Peptostreptococcus
Porphyromonas
Prevotella
Veillonella
ESPÈCES INCONSTAMMENT SENSIBLES

(résistance acquise > 10 %)
Aérobies à Gram négatif
Helicobacter pylori
Anaérobies
Bifidobacterium (+)
Eubacterium
ESPECES NATURELLEMENT RESISTANTES
Anaérobies
Actinomyces
Mobiluncus
Propionibacterium acnes
(+) La prévalence de la résistance bactérienne est > 50 % en France.

Activité anti-parasitaire

Espèces sensibles

Entamoeba histolytica

Giardia intestinalis

Trichomonas vaginalis

Synergie :
la moyenne des CMI des deux produits isolés et associés montre qu'il
existe une synergie pour inhiber certaines souches bactériennes
sensibles.

Sur Bacteroides fragilis, il suffit donc d'environ 16 fois moins de spiramycine et 4 fois moins de métronidazole.

CMI en µg/mL
Souches Bacteroides mélaninogénique Bacteroides fragilis
Métronidazole seul 0,25 0,5
Métronidazole
+ spiramycine 0,125 µg/mL
0,062 0,125
Spiramycine seule 2 32
Spiramycine
+ métronidazole 0,125 µg/mL
0,125 2

Ces
données concernant la synergie entre les deux composants antibiotiques
(spiramycine et métronidazole) de cette association fixe sont anciennes.

Leur
pertinence et leur contribution dans l'utilisation de cette association
fixe demandent à être considérées avec prudence, en particulier
concernant la détermination de la dose optimale de cette association
fixe.

Autres informations SPIRAMYCINE/METRONIDAZOLE VTS

+ -
  • Forme pharmaceutique : Comprimé pelliculé
  • Voie d'administration : Orale
  • Code ATC : J01RA04
  • Classe pharmacothérapeutique : Spiramycine et métronidazole
  • Conditions de prescription et de délivrance : Médicament soumis à prescription médicale (Liste I).Les médicaments sur liste I (cadre rouge sur la boîte) ne peuvent être délivrés que pour la durée de traitement mentionnée sur l'ordonnance.
  • Code Identifiant de Spécialité (CIS) : 67336061
  • Laboratoire titulaire AMM : Viatris sante (22/03/2005)
  • Laboratoire exploitant : Viatris sante

Sources :

  • Résumé des Caractéristiques Produits (RCP) des autorisations de mise sur le marché (AMM) françaises et européennes
  • Livret des interactions médicamenteuses de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM)
  • Répertoire des génériques de l’ANSM
  • Documents de référence de la Haute Autorité de Santé (HAS) : fiches de transparence, fiches de bon usage, documents SAM (Système d’Aide à la décision par Médicament)
  • Prix et remboursements du Comité économique des produits de santé (CEPS)
  • Informations des laboratoires titulaires de l’AMM (CF supra dans l’onglet « Autres informations » de cette page)
  • Informations grossistes répartiteurs
  • Assurance maladie (CNAMTS) : guide des affectations de longues durées (ALD)
  • Agence technique de l'information sur l'hospitalisation (ATIH) : classification CIM10
  • Organisation mondiale de la santé (OMS) : classification ATC
  • Pharmacopée européenne : Standard Terms et classification EPhMRA
  • Ministère de la santé : substances dopantes
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