On nous a tellement répété “restez chez vous”, qu’après deux mois de confinement, nous avons associé l’extérieur au danger. La peur d’être contaminé, tout comme celle d’être vecteur de contamination est toujours présente et risque de le rester aussi longtemps qu’un traitement approuvé ou un vaccin pourront endiguer l’épidémie.
Que faire ?“Dans une situation perçue comme menaçante, l’être humain a recours à des conduites contraphobiques pour se rassurer”, souligne le psychanalyste Joseph Agostini “Pour surmonter cette peur, le respect des gestes barrière (port du masque adapté, lavage des mains, respect de la distanciation sociale) qui sont des mesures efficaces, permettra de surmonter cette angoisse”.
La peur de contaminer ses proches, notamment les plus fragiles comme les personnes âgées, est également vivace. Pour vivre au mieux, il faudra redoubler de vigilance à l'endroit des plus âgés et user de discernement avant d’envisager une visite. Là encore, le respect des consignes sanitaires et la confiance envers les discours scientifiques permettront de juguler les craintes excessives.
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