Nolyne Cerda
Journaliste pigiste beauté/formeNolyne Cerda est journaliste pigiste beauté/forme et auteur du podcast Parlons B.
Interdit en France depuis 2015 comme monomère servant à la fabrication de plastiques entrant en contact avec les aliments, le bisphénol A ou BPA a été remplacé par des substituts comme le bisphénol S ou BPS ou le bisphénol B ou BPB qui suscitent eux aussi de nombreuses interrogations.
Lire l'articleMassivement utilisés dans les produits capillaires et notamment pour remplacer les silicones, les ammoniums quaternaires font débat mais peuvent se retrouver dans des produits bio.
Lire l'articleUtilisé pendant très longtemps en cosmétique pour ses propriétés antioxydants, le BHA est de plus en plus remplacé par son homologue le BHT. Mais tous deux font polémique car suspectés d’être perturbateurs endocriniens et cancérigène pour le deuxième.
Lire l'articleConsidérés comme perturbateurs endocriniens, les phtalates ont été pour la plupart interdits dans les formules de cosmétiques par l’Union Européenne. Le seul encore autorisé est le diethyl phtalate ou DPE. Focus sur ce composé chimique qui fait malgré tout polémique.
Lire l'articleEssentiellement utilisés dans les déodorants et les anti-transpirants, les sels d’aluminium étaient suspectés depuis une dizaine d’années d’être perturbateurs endocriniens et cancérigènes. Mais les concentrations usuelles imposées dans les formules viennent d’être considérées comme sûres par le comité d’experts indépendants de la Commission européenne, le Comité scientifique pour la sécurité des consommateurs (CSSC) le 15 avril 2020. Zoom sur cet ingrédient qui fait débat.
Lire l'articleLe diéthanolamine (DEA), le monoéthanolamine ou éthanolamine (MEA) et le triéthanolamine (TEA) sont des ingrédients utilisés dans les cosmétiques comme émulsifiant, émollient ou tensioactif. Seulement, lorsqu’ils sont en contacts avec d’autres substances ils sont suspectés d’être cancérigènes et fond donc polémiques.
Lire l'articleLe MIT (Methylisothiazolinone) est un conservateur utilisé dans des produits de cosmétiques dits "sans parabènes". Il est généralement utilisé conjointement avec le MCIT (Methylchlorothiazolinone) dont les propriétés sont quasi identiques. Cependant, tous deux font l’objet de réglementations très strictes notamment à cause de leurs forts potentiels allergisants.
Lire l'articleLe résorcinol est un ingrédient largement utilisé dans les cosmétiques pour ses propriétés multiples. Mais l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) vient de confirmer les doutes qui planaient déjà sur son potentiel à être un perturbateur endocrinien.
Lire l'articleBien que scrupuleusement réglementé, le butylphenyl methylpropional appelé également lilial fait toujours débat. Utilisé dans les parfums et les matières premières aromatiques, il est cependant perçu comme un allergène voire perturbateur endocrinien selon certaines études.
Lire l'article10 000 ! C’est environ le nombre d’expressions que notre visage doté de 43 muscles faciaux est capable de produire d’après le chercheur et psychologue Paul Ekman, spécialiste en la matière. Alors, en prendre soin passe par une bonne hygiène de vie, de bons soins ainsi que de bons gestes. Sandrine Framezelle, facialiste, nous explique pourquoi le rouleau de jade va devenir notre meilleur allié beauté.
Lire l'articleLa parfumerie est mystérieuse. Parce que cet art relève du sensible et parce que les règles sont encore très floues afin de protéger les travaux des nez, ce milieu compte quelques secrets notamment concernant les formules. Mais ce secteur ne pouvait échapper au boom du green. Marie-Hortense Varin fondatrice de la marque de parfums naturels Bastille nous aide à y voir plus clair.
Lire l'articleQu’ils soient longs, petits, fins, éparses ou naturellement courbés, les cils nous donnent du fil à retordre. Patrick Lorentz, global pro make-up artist chez Estée Lauder, nous aide à dénicher la brosse de mascara parfaite pour notre regard.
Lire l'articleConnaître son type de peau, c’est pouvoir cibler au mieux ses besoins et appliquer les soins qui lui correspondent. Si l’on sait faire la différence entre peau mixte et sèche, on a tendance à penser qu’avoir une peau sèche ou déshydratée c’est la même chose alors qu’il n’en est rien. Nina Roos, dermatologue nous aide à y voir plus clair.
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